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Paroisse Catholique de Morat

Les célébrations

A côté des célébrations ordinaires des week-ends, des jours fériés et des jours de semaine, il existe une multitude de célébrations liturgiques réparties sur toute l'année liturgique. Les célébrations des sacrements ou des funérailles en font également partie.

Quelques exemples méritent une attention particulière :

Les messes des familles sont toujours annoncées dans l'Info Paroisse.

Le premier vendredi du mois, nous célébrons le vendredi du Sacré-Cœur de Jésus à l'église paroissiale de Morat avec un moment d'adoration eucharistique.

La prière du chapelet dans l'église paroissiale de Morat est actuellement proposée en français les jeudis et dimanches des mois de mai et octobre.

Pendant les périodes de pénitence avant Noël (Avent) et avant Pâques (Carême), nous proposons une célébration du pardon. Lors de cette célébration, nous explorons notre conscience, nous nous posons des questions sur la manière dont nous pouvons toujours nous repentir dans notre vie quotidienne. Ces célébrations du pardon sont également une bonne préparation à la réception du sacrement de réconciliation (confession).

Si vous avez un désir de célébration personnelle (par exemple bénédiction de maison, bénédiction d'objets de dévotion, réception de sacrements, célébration de fiançailles à l'église, célébration d'anniversaires de mariage, etc.), n'hésitez pas à nous contacter.

La Liturgie

Le concile Vatican II a défini:

En effet, la liturgie, par laquelle, surtout dans le divin sacrifice de l’Eucharistie, « s’exerce l’œuvre de notre rédemption », contribue au plus haut point à ce que les fidèles, en la vivant, expriment et manifestent aux autres le mystère du Christ et la nature authentique de la véritable Église. Car il appartient en propre à celle-ci d’être à la fois humaine et divine, visible et riche de réalités invisibles, fervente dans l’action et adonnée à la contemplation, présente dans le monde et cependant en chemin. Mais de telle sorte qu’en elle ce qui est humain est ordonné et soumis au divin ; ce qui est visible à l’invisible ; ce qui relève de l’action à la contemplation ; et ce qui est présent à la cité future que nous recherchons.

(Constitution sur la liturgie, article 2)